[Mission 1: Green Emerald] A la recherche d'armes

Edward Dante s'engouffra dans les rues de Grandelton District, ce quartier n'était qu'un bouge infâme ou ce trouvait tous les rebus de la société, des monstres et des nains y vivaient en pagayent.

Edward se gara à proximité d'un bar a strip-tease il regarda autour de lui et se tapa sur le front.

Bordel... Mais pourquoi j'ai pas commencé par-là ?

Edward entra dans le bar de strip-teaseuse, une lumière rouge feutrée accompagnée une musique d'ambiance. L’atmosphère était lourde de tabac, de sueur, d'alcool et sûrement de sexe. Au fond l'on pouvait apercevoir une porte qui menait sûrement à des chambres ou les entraîneuses allaient dépouillaient leurs victimes, beaucoup de fille dansait sur les tables et les promontoires prévus à cet effet encourager par les sifflets et billets des êtres présents. Le mercenaire s'assit à une table étrangement libre, il faut dire qu'elle ne se trouvait pas la mieux placée assez loin du spectacle juste a proximité de l'entrée du bar, Edward s'assit contre le mur, une vielle habitude, puis scruta la salle a la recherche de quelque revendeur que se soit, en regardant de tant à autres le spectacle des filles quasi-nue qui gesticulait un peu partout.

Une jeune femme d’une grande beauté monta de la table d’Edward puis commenca à se mouvoir d’une manière que peu d’hommes ne pouvait être indifférent a cette grâce, et notre ami ne l’était sûrement pas, soudain il entendu un bruit particulier qu’il connaissait bien.

Nom de dieu, ma bécane !!!!

Edward Dante entendit le moteur de sa Harley disparaître au loin, il jura que s’il retrouvait ses petits merdeux, ils le paieraient cher. Puis il commenca à se rassoire se délectant du spectacle que la danseuse plus que nue, lui offrait. Edward regarda la fille de haut en bas, en voyant ses yeux dorés et brillant, il se dit qu’elle n’était pas humaine, puis dans un mouvement de tête sa chevelure sombre découvrit ses oreilles en pointe qui laissait devinait ses origines elfiques, et les elfes ne sont pas des êtres à se rabaissaient à ce genre de performances.

Salut ma toute belle, dis–moi, que fait une demi-elfes aussi
superbe que toi dans un lieu aussi sordide ?

Edward caressa la jambe de la jeune femme avec énormément de douceur, puis jetant un œil au font de la salle, il vit le patron du bar recevoir une enveloppe, son intuition ne l’avait trompé derrière cette porte il y avait autre chose que des chambres pour les hommes en manques, un trafic existait bien. Notre mercenaire savait trop bien comment fonctionner ce genre de boite, il lui fallait bien connaître le boss. Edward leva les yeux vers la superbe créature qui se dandinait devant lui.

Tu as bien le droit de boire un verre ma beauté ? Viens t’asseoir à cotes de moi !

Edward attendit que la danseuse s’installe à ces cotés. Le mercenaire la prit par l’épaule tout en caressant ses longs cheveux.

Tu es vraiment une femme magnifique est j’aimerais te venir en aide, je te propose quelque chose de simple, tu fais quelque chose pour moi et je fais quelque chose pour toi, je pourrais même te sortir de la. J’aimerais bien parler a ton boss, tu me le présente ?

La demi-elfe s’assit à cote d’Edward, elle semblait inquièteet son regard fuyant chercher un refuge.

" Comment avez vous su que j'étais une Demi Elfe ? Par Pitié, n'ébruitez pas l'affaire ! Sinon, je risquerai de mourir... Que puis-je faire pour vous aider? "

Comment l’ai-je su ? J’ais beaucoup voyagé avec mon grand-père lorsque j’étais jeune et j’ai connu beaucoup de demi-elfes, et lorsque j’ai vu tes yeux, magnifiques entre nous, j’ais eu un doute sur ton appartenance ethnique, mais j’en fut persuader lorsque j’ai vu tes oreilles en pointe que tu dissimule sous ta chevelure. Ne t’en fais pas, je ne dirais rien à personne et je ne permettrais pas qu’on te fasse du mal.

Edward sourit à la jeune femme, il prit sa main dans la sienne avec douceur.

J’aimerais que tu me présente à ton boss, je sais qu’il dirige divers trafics dans l’arrière boutique et j’ai besoin de savoir ce qu’il en retourne.

La jeune danseuse assura auprès d’Edward qu’elle n’était au courant de rien, mais lui conseilla de parler au barman. Puis elle se lava en lui adressant un merveilleux sourire, elle se dirigea finalement vers l’estrade centrale pour effectuer son show qui était des plus sulfureux.

Edward se leva a son tour puis se dirigea vers le comptoir qui prenait toute la longueur de la pièce tout en zieutant sa belle danseuse de tant à autres.

Barman !!!

Dante venait d’interpellait le barman assez fort, les sifflets et les cris de joies des clients en rut couvraient la voix d’Edward.


BARMAN !!!!!

Ce coup ci, il avait accompagnait son appel de plusieurs coup du plat de la main sur le comptoir de la boite de danse.

Le barman quoique surpasser par sa clientèle fini par se tourner vers Edward Dante, il s'approcha de lui et lui demanda avec nonchalance.

" Ouais m'sieur ! Je peux quoi pour vous ? "

Edward fixa l'homme derrière le comptoir, de toute évidence il connaissait les affaires de son patron mais préférait ne pas en parler, ce qui arranger notre ami.

J'aimerais que vous m'appeliez votre patron j'aimerai parler affaires avec lui, vous voyez le genre d'affaires qu'il traite dans les arrières salles.

Edward avait parlé assez fort afin de mettre le barman dans l'embarra et apparemment ça avait marché puisqu'il suait a grosses gouttes. Edward eu un sourire de satisfaction l'homme en face de lui ne savait comment réagir.

Oui...C'eut de l'effet... Mais pas celui escompté par Edward alors que, discrétement, comme des années et des années d'expériences le prouvent, son voisin lui planta un flingue dans le dos. Il arma le chien.


Ca voulait dire, ce que ça voulait dire...Surtout quand le Barman essuya ses gouttes de sueurs après s'être pris des kilolitres d'adrénaline dans le corps et qu'il murmura très discrétement à Dantes.


" Dans l'arrière salle..."


A Eddy de voir s'il y a pas d'autres fou de la gachette qui auraient envie de décharger leur munitions sur lui alors que le silence disparut dans la salle pour reprendre son habituel bordel...

L’intervention d’Edward eu un effet plus que positif… Pour preuve le flingue qui venait de se planter dans son dos. Ed ne pouvait s’en prendre qu’a lui-même à croire qu’il n’avait rien retenu de ce que lui avait enseigné son illustre, le célèbre Allan Quatermain, à moins que sa dernière mission ne l’aie plus dérouté qu’il n’eut cru.

Le barman rassuré par son protecteur se pencha au-dessus du comptoir pour inviter Edward à se rendre dans l’arrière-salle. Il était inutile pour notre ami d’essayer de tenter quoi que ce soit au milieu de la foule, trop de gens pouvaient être touché, Edward se devait d’être le plus discret possible, il se leva de son tabouret puis se dirigea vers la pièce du fond toujours accompagné par le garde du corps.

Le long du trajet Edward chercher un moyen de se sortir de cette mauvaise passe, c’est alors que la solution lui apparu, un petit couloir sombre servait à séparer les chambres du bistrot et de l’arrière-salle et en se moment ce couloir était désert.

C’était le lieu idéal pour se débarrasser du vigile, que les deux hommes furent dans l’entre pièce, Edward se retourna puis tenta d’assumer et pourquoi pas de subtiliser l’arme du vigil.


[ jet de dés sous force=8*2 : 1d16=14 ]
[ jet sous coordination=7*2 : 1d14=10 ]

Edward d’un geste vif se retourna et saisit le poignet du vigil et lui asséna un grand coup de coude directement a la mâchoire avec son autre bras. Le gardien de la boite de nuit s’écroula au sol dans un énorme fracas laissant tomber, par la même occasion, son flingue a ses pieds.
D’un mouvement tout aussi rapide, Dante s’empara de l’arme du vigil qui essayait tant bien que mal a se relever, Edward s’en aperçu et lu flanqua un coup de pied dans les côtes qui l’envoya valser contre le mur dans un bruit sourd. Edward regarda un instant autour de lui et vit le barman sourire cyniquement, le bonhomme venait sûrement de déclencher l’alarme.
A peine eut-il le temps de réagir que Dante se retrouva encerclé par quatre porte-flingues, il était coincé, deux se trouvés devant et deux derrière lui, de chaque cotés se dressé les murs du couloir. c’était pour ça qu’ Edward préférai posséder deux flingues, dans ce genre de situation, avec une arme dans chaque main il aurait put tenter quelque chose, mais la … C’était impossible. A cet instant la porte du fond s’ouvrit et un homme de forte corpulence s’avança et se posta derrière les hommes qui se trouvait devant Edward.

"Bravo Petit ! Tu as bien du courage d'avoir fait ça ! Ca prouve que tu en as dans le calbute. j'ai bien envie de te donner une chance. Expliques moi pourquoi tu veux une arme. Si ta réponse me plaît, je te laisse vivre. Si ta réponse me déplaît, tu crèves sur place..."

Edward se reprocha du gros homme son regard ne quitta pas le sien.

ET d’après toi, pourquoi est ce qu’on veut une arme ? Si ce n’est pour se défendre ou bosser, je suis mercenaire et dans mon job j’ai besoin d’avoir des armes et si je suis venu ici c’est pour m’en procurer suite à la perte des miennes lors de mon dernier boulot.

Edward avait parlé franchement à celui qui semblait être le boss, il avait toujours était direct, de toutes façon son avenir allait se jouer au bon vouloir du gros bonhomme.

L'Obèse explosa de rire. Voilà un homme franc comme il les aime. Et il en a dans le slip...Un mercenaire ! Voilà qui lui plaisait ! Peut être pourrait-il l'aider à trouver ce qu'il voulait. Et pourquoi pas après tout ! Un mercenaire, tant qu'on le paye, il fait son boulot Sauf que...


" T'es donc un Mercenaire ! C'est bien ! Tu vas me rendre gentimment ses flingues et me suivre dans mon bureau... Peut être que tu vas te rendre utile... " Déclara le Gros Lard puant la chiasse alors que les quatres s'approchèrent d'Eddy.

Edward qui était maintenant si près du gros homme qu’il pouvait sentir l’odeur qui dégageait, une sorte de mélange de sueur, de sexe, d’alcool …. Bref ce gros lard puait la merde. A croire qu’il ne connaissait pas les bienfaits de la douche, ce bibendum se mit a rire aux éclats puis l’invita à le suivre dans son bureau après avoir rendu le flingue qu’il avait réussi à piquer au vigil qui l’avait menacé , apparemment le fait qu’Eddy soit un mercenaire devait arranger ses affaires.

Les quatre autres portes flingues se rapprochèrent de Dante qui balança l’arme qu’il posséder en direction d’un de ceux qui se trouvait entre lui et le gros tas. Edward profita des quelques pas de recule du garde du corps pou s’enfiler entre eux et emboîter le pas du gros tas de graisse qui de toute évidence était le patron de ce gourbi.

Si le bureaux de ce gros crasseux est comme le bonhomme, je me demande bien à quoi ça peut bien ressembler pensa Edward.

Il voyait déjà la pièce crade avec des reste de hamburgers et de frites par ci par là, des posters de femmes à poils sur les murs, des cameras fixés plus vers les estrades des filles que sur la salle elle-même, un lecteur DVD se trouvant en dessous des écrans de contrôle lui permettant de mater un ou deux pornos qui doivent sûrement traîner au sol et évidement un lit défait permettant « d’auditionner » ses futurs danseuses.

Edward se dégoûta lui-même du bureau qu’il venait d’imaginer, un frisson couru long de sa colonne vertébrale. Bah !!!!! Tant qu’il réussissait à avoir des flingues, deux de préférences, et qui sait, peut être un job ! Et dire que sans le savoir, ce gros merdeux avait parmi ses danseuses une des plus magnifiques demi-elfes qu’il eut l’occasion de voir, Edward se promis de la sortir de ce trous à rats, qu’importe les moyens qu’il emploierait pour cela... Le gros lard pénétra dans son bureau suivi de près par notre ami.

Le bureau du gros Bonhomme ressemblait à peu de chose près à l’idée que s’en était fait Edward. En s’asseyant le gros lard lui promis du fric et des armes en échange d’un service. Eddy sourit légèrement

Enfin du boulot , je vais pouvoir me dérouiller un peu, parle moi de ce Job est-il intéressant ?

Le gros pue-la-pisse lui parla de l’émeraude verte des Elfes qui avait disparut, Edward en avait déjà entendu parler , mais sans plus, travailler gratis ne l’avais jamais intéresser, puis le bibendum puant lui annonça que si il ne réussissait pas la mission il le buterais, ce qui énerva notre ami.

J’accepte le boulot, pour les armes j’ai une petites préférence pour les Beretta, et si ça te gêne pas j’aimerais aussi un véhicule, des sales connard m’on piquer ma bécane.

Edward se dirigea vers la sortie du bureau, puis s’accola à la porte.

Autre chose mon beau, ce n’est pas de cette façon que je m'y suis serai pris et tu serais déjà en train de servir de cochon au méchoui de Satan.

Edward écouta a peine les derniers paroles du gros lard , il savait ce qu’il devait savoir, un certain Barry se trouvait dans la ruelle juste derrière le bar, et pour le véhicule il devait se demerder de toutes façon , ce tas de graisse ne devais avoir rien de bien génial, juste des guimbardes de bon marché.

Eddy sortit du bureau puis se fraya un chemin dans le salle de danse encore pleine de monde, malgré l’heure tardive, plus de cinq heure du matin. Une fois sortit du Silver-Sex, il regarda le ciel, l'aube commencé à pointer le bout de son nez, puis il tourna sur sa droite et emprunta la petite ruelle qui débouchait derrière la boite de nuit. Edward s’appuya contre le mur et attendit quelque instant, il pensait qu’un homme qui se terre dans un tel lieu ne désire qu’une chose : rester discret.